Du fait de
mon âge, qui me range à présent dans la catégorie des hommes
murs, je suis désormais contraint de faire réviser périodiquement
quelques options indispensables à mon bon fonctionnement....
je me rends
Donc à l’hôpital sur injonction de mon toubib pour une joyeuse
journée de tête à tête avec l'administration de l'assistance
publique des hôpitaux de paris...
- C'est pour quoi ?
J'ai rendez pour un scanner, un IRM, un Doppler et une scintigraphie.
la fille de l’accueil me regarde comme si je lui avais demandé de me montrer ses seins, forts attirants au demeurant, mais la n'est pas la question.
- attendez dans la salle d'attente.
moi les hôpitaux je connais....On n'y est pas un client ou même un usager, mais un patient... alors, un patient, ça patiente...j'avais tout prévu...
Un ordinateur. ma liseuse avec environ 1500 bouquins à lire dont l'intégrale de Victor-Hugo et la traduction en flamand de la retranscription du procès de Nuremberg, et bien sur mon smart phone...
tout cela chargé à bloc. et révisé comme pour affronter une expédition polaire.
Je choisis de m'attaquer a "la femme de papier" de Françoise REY.. pour ceux qui l'ignorent, c'est délicieusement cochon et moi j'adore.. mais ça vous le savez déjà.
Une heure après, en pleine séance de sodomie surprise (littéraire bien sur) - une infirmière ou une aide soignante, bref une jolie dame en blanc noire de peau... me demande..
- c'est pour quoi vous, qu'est ce que vous attendez ?
Je lui répète ma liste.. et me replonge dans ma lecture rafraîchissante des que celle ci a tourné les talons..
une heure plus tard....
une deuxième dame en blanc.. toute pale, m'informe qu'il me faut passer au 3 ° étage pour m'inscrire..
A quoi ? je n'ose pas poser la question de peur d’atterrir dans un bureau où je risquerai d'être séquestré par un des nombreux fournisseurs que j'ai vu défiler ce matin...
tout le monde est en pause café, mais la machine à café est en panne.
Bref, je savais à quoi m'attendre et le xanax me permet de rester assez zen...
3 H 30 après l'heure de mon rendez vous une infirmière vient me chercher et me conduit dans une cabine, me demandant de me déshabiller.
- euh ... je me déshabille comment ?
- ben vous vous déshabillez quoi ... c'est pas compliqué à comprendre.
me fait elle d'un doux accent picard qui me donne l'impression qu'elle veut me mettre une tarte au passage.
comme je suis assez lâche, plutôt craintif de nature et que la dame est solidement charpentée, je m'exécute.
10 minutes plus tard, alors que je patiente dans la cabine, j'entends toquer à la porte....
— mais que faites vous M. Varga, on vous attend depuis 10 minutes...
La je suis sidéré par la mauvaise foi du personnel. et outré, je sors de mon refuge.. et la ... stupeur.
— mais enfin, ça va pas du tout monsieur, on ne vous a jamais demandé de vous déshabiller complètement.
— comment ça, j'ai posé la question, et c'est ce que j'ai compris...
— mais remettez un slip enfin...
et oui... j'étais tout nu... et complètement frigorifié sur le lino amianté de l’hôpital, devant un bonhomme hilare et une dame scandalisée par ma bêtise... je précise que je n'étais pas en érection.... mais bon.....
- C'est pour quoi ?
J'ai rendez pour un scanner, un IRM, un Doppler et une scintigraphie.
la fille de l’accueil me regarde comme si je lui avais demandé de me montrer ses seins, forts attirants au demeurant, mais la n'est pas la question.
- attendez dans la salle d'attente.
moi les hôpitaux je connais....On n'y est pas un client ou même un usager, mais un patient... alors, un patient, ça patiente...j'avais tout prévu...
Un ordinateur. ma liseuse avec environ 1500 bouquins à lire dont l'intégrale de Victor-Hugo et la traduction en flamand de la retranscription du procès de Nuremberg, et bien sur mon smart phone...
tout cela chargé à bloc. et révisé comme pour affronter une expédition polaire.
Je choisis de m'attaquer a "la femme de papier" de Françoise REY.. pour ceux qui l'ignorent, c'est délicieusement cochon et moi j'adore.. mais ça vous le savez déjà.
Une heure après, en pleine séance de sodomie surprise (littéraire bien sur) - une infirmière ou une aide soignante, bref une jolie dame en blanc noire de peau... me demande..
- c'est pour quoi vous, qu'est ce que vous attendez ?
Je lui répète ma liste.. et me replonge dans ma lecture rafraîchissante des que celle ci a tourné les talons..
une heure plus tard....
une deuxième dame en blanc.. toute pale, m'informe qu'il me faut passer au 3 ° étage pour m'inscrire..
A quoi ? je n'ose pas poser la question de peur d’atterrir dans un bureau où je risquerai d'être séquestré par un des nombreux fournisseurs que j'ai vu défiler ce matin...
tout le monde est en pause café, mais la machine à café est en panne.
Bref, je savais à quoi m'attendre et le xanax me permet de rester assez zen...
3 H 30 après l'heure de mon rendez vous une infirmière vient me chercher et me conduit dans une cabine, me demandant de me déshabiller.
- euh ... je me déshabille comment ?
- ben vous vous déshabillez quoi ... c'est pas compliqué à comprendre.
me fait elle d'un doux accent picard qui me donne l'impression qu'elle veut me mettre une tarte au passage.
comme je suis assez lâche, plutôt craintif de nature et que la dame est solidement charpentée, je m'exécute.
10 minutes plus tard, alors que je patiente dans la cabine, j'entends toquer à la porte....
— mais que faites vous M. Varga, on vous attend depuis 10 minutes...
La je suis sidéré par la mauvaise foi du personnel. et outré, je sors de mon refuge.. et la ... stupeur.
— mais enfin, ça va pas du tout monsieur, on ne vous a jamais demandé de vous déshabiller complètement.
— comment ça, j'ai posé la question, et c'est ce que j'ai compris...
— mais remettez un slip enfin...
et oui... j'étais tout nu... et complètement frigorifié sur le lino amianté de l’hôpital, devant un bonhomme hilare et une dame scandalisée par ma bêtise... je précise que je n'étais pas en érection.... mais bon.....
L’infirmière
me tend une blouse médicale. Vous savez, celles dans lesquelles on
se sent très con et qui vous laissent le cul à l’air comme les
astronautes cobayes du programme Gemini dans l’étoffe des
héros….Pas plus que les mexicains, les picards ne sont perméables
à l’humour… ceux qui ont vu le film comprendront… les autres
demandez à vos grands-parents.
Je me
sentais moins gené quand j’étais totalement à poil. Je n’avais
pas la même sensation de liberté que face au coucher de soleil sur
l’île du Levant certes, mais la nudité ne m’a jamais vraiment
posé de souci.
Du coin de
l’oeil, j’observe l’interne qui ne peut plus faire semblant de
ne pas se marrer. J’ai l’impression qu’il passera un sale quart
d’heure s’il se fait choper par l’infirmière.
C’est
toujours comme ça à l’hôpital. On s’attend à tomber sur une
salle de garde en délire comme dans un dessin de Dubou, mais dans la
réalité on est bien souvent plus proche de l’ambiance de
l’antichambre du parloir de la santé.
Tout le
monde à des histoires salaces à raconter sur ses hospitalisations.
Tout le monde, sauf évidemment, moi.
Je ne vais
pas vous la faire Caliméro…. Ça fait longtemps que ca ne
fonctionne plus et que j’ai banni ce numéro de ma panoplie de
séducteur. Mon sens du ridicule a quelques limites… pas beaucoup,
mais quand même.
La grande
dame, elle doit me dépasser d’une demi tête, ne dissimule plus du
tout les sentiments que je lui inspire. Elle me jette un regard aussi
dénué d’humanité que celui que pourrait recevoir la croupe d’une
Bimbo qui s’aviserait de traverser le quartier du Mariais en début
de soirée au mois de juin. Bref… vous avez compris… ce n’est
pas avec elle que j’aurais l’opportunité de connaître les
plaisirs simplement consacrés par la morale familiale pour tous…
Les fesses
au frais, je m’installe sur le matelas en plastique revêtu d’un
drap de papier hygiénique. C’est froid, ca colle, et c’est assez
léger pour toujours s’immiscer dans les recoins les plus incongrus
de votre anatomie.
— Vous
mettez votre casque s’il vous plaît…..
— Je mets
mon casque ? Oui ?
— On peut
pas commencer si vous mettez pas votre casque…
— Ah mon
casque ? Mais c’est quoi ?
— Ben
devant vous… le casque quoi… vous le mettez sur les oreilles….
— Ah les
écouteurs ? Je me demandais justement à quoi ca servait.
— Ben
c’est un casque … vous le mettez sur les oreilles….
Je précise
qu’à cet instant, je me sens minuscule sous une machine qui
pourrait être assez grande pour faire de moi une chipolatta
industrielle et qui doit bien coûter son million d’euro…J’espère
qu’on ne trouvera rien du tout… mais au prix de l’examen, je me
surprends à en être presque désolé par avance.
Obéissant
et très impressionné par la scène, je m’exécute et chausse le
fameux accessoire sans comprendre pourquoi, ce qui ne manque pas de
m’ajouter une petite dose de stress supplémentaire…. Je sens une
goutte de sueur se former à la base de mon périnée et me vient une
furieuse envie de me gratter la zone pulvo-coxcyngienne.
Une voix
envahit ma conscience, et tel dieu m’ordonne de rester tranquille.
Dieu est une femme…. Je m’en doutais un peu…. Mais j’en suis
à présent certain…..
— Bon,
Monsieur, à cause de vous on est bien en retard. L’examen dure
vingt cinq minutes et vous ne devez surtout pas bouger… vous
comprenez ? Vous ne devez pas bouger… alors, j’espère que vous
avez fini de vous gratter, que vous avez bien fait pipi et qu’on
peut commencer… vous pouvez parler, mais après vous vous taisez,
il faut pas que vous bougez…. Vous voulez quoi comme musique dans
les oreilles ? La machine fait du bruit et ca va vous aider à passer
un peu le temps.
— j’ai
le choix ? Super… entre quoi et quoi ?
— vous
voulez du classique ou du moderne ? Sinon, on a la radio de
l’hopital, mais je sais pas ce qu’ils mettent dessus…
— je
crois que je vais prendre le classique….
Je
m’attends au pire… quand je raconte en soirée que je suis fan de
musique sérielle atonale et arythmique…. C’est juste pour la
frime… en fait, je n’y comprends rien… j’ai juste écouté
une émission l’an dernier sur France Culture et je ne sais pas
pourquoi, mais j’ai retenu le discours… en vrai, je ne supporte
pas… je n’ai pas les oreilles assez intelligentes pour la musique
parisienne.
Le matelas
mobile se met en route. Je suis lentement avalé par le monstrueux
appareillage dont les parties mobiles, telles les ailes d’une
gigantesque mouche se positionnent autour de moi et se transforment
en observateur menaçant.
Dans mes
oreille, résonnent les premières notes d’un pièce de
relaxation…. Celle la même que j’ai écouté la veille avec mon
amie….
C’est
donc cela qu’elle appelle du classique…. Que peut donc être au
juste pour elle le moderne ? Je quitterai probablement ce monde sans
jamais avoir eu de réponse à cette question qui sur le moment me
semble fondamentale.
La musique,
d’une infinie douceur évoque la clarté du chant d’une cascade
en été…. Je dis ca parce que je l’ai lu sur la pochette du CD
la veille. Je me sens un peu moins stressé, je commence à me
relaxer… je prends conscience de ma respiration….et je détends
chaque muscle de mon visage, de mes épaules, de mes bras, de mon
torse, de mon dos…. ceux qui ont pratiqué la sophrologie
reconnaîtront la séquence…. On n’a rien inventé de neuf dans
le domaine depuis trois mille ans…
Normalement,
je devrais vider mon esprit… ne penser à rien…me laisser envahir
par la sérénité… mais je ne sais pas faire…
J’ai la
chance de partager ma vie avec une dame délurée et plutôt allumée
sur les bords qui pour parfaire mon bonheur est du genre jolie et
sensuelle quand elle est en forme. Hier soir, nous nous retrouvions
après une séparation de trois semaines. Nous étions restés bien
bouillants au téléphone, à l’ancienne, comme on faisait avant
internet. Je me sentais prêt à la saisir par les cheveux et la
saillir avec toute la délicatesse d’un adolescent n’ayant pas eu
de relation sexuelle depuis le début de son service militaire. La
dame ne l’entendait pas de cette oreille et refréna rapidement mes
ardeurs en m’imposant une temporisation digne du déshabillage
d’une courtisane à la grande époque des lacets et des boutons……
Le
programme était un peu différent de celui que je proposais. Pour ma
part, il aurait été bouclé en sept minutes montre en main… ou
plutôt smart-phone en main, ça fait longtemps que je ne porte plus
rien à l’annulaire ou au poignet. Apprêtée d’une ravissante
jupe courte qui lui couvrait à peine de jolies jambes revêtues avec
goût d’une paire de bas suspendus aux jarretelles des grandes
occasions. Comme disait Ferré c’est extra….ce texte est
dorénavant interdit aux moins de 45 ans….
Elle
m’attendait tout sourire au bout du quai, jolie silhouette noyée
dans la douce lumière des néons de la gare Montparnasse…Il lui
suffit d’un baiser à mon adresse pour éparpiller la nuée des
prédateurs plus ou moins jeunes qui tournaient autour d’elle,
attirés par les pointes tendues de sa poitrine que l’on devinait
nue et nerveuse sous son corsage blanc.
Elle me
tend la main et m’attire dans le métro direction son appartement
dans le treizième arrondissement, pour une première session de
massages, relaxation, musique tibétaine, lumière tamisée… et
tisane au miel et au gingembre… je suis un homme, mais quand on
connaît les bons arguments, je sais ne pas toujours être un
bourrin.
Les femmes
qui n’ont pas la chance d’être originaires de l’orient sont
hélas rarement des masseuses tout juste acceptables. Je n’ai pour
ma part jamais eu l’honneur de bénéficier de ce genre de
prestation sans devoir alléger mon compte en banque de quelques
dizaines d’euros. C’est professionnel, souvent parfait, mais il
manque la plupart du temps la petite étincelle de l’improvisation
du jeu de “ tu vas voir ce que tu vas voir - c’est pas pour rien,
qu’on m’appelle la schtroumphette de chez Pfizer”.
J’ai eu
droit au grand jeu….de celui dont je me souviendrai ému en fumant
ma pipe électronique au coin de mon i-feu de bois connecté quand je
serai vieux dans ma retraite au Portugal.
Nous avons
tous notre petite madeleine.. La mienne, c’est la musique… il me
suffit d’écouter une chanson pour instantanément revivre les
sensation érectiles des années de ma première jeunesse quand nous
nous enlacions maladroitement, en sueur le samedi soir, tout heureux
de pouvoir approcher le bout du pouce de l’illusion d’un téton
protégé par la solide couture du soutien gorge….
Cette fois,
enfermé dans la mécanique coûteuse d’une machine a diagnostic de
l’assistance publique des hôpitaux de paris, je revivais avec émoi
la soirée de la veille. Je n’avais pas beaucoup dormi depuis, mais
le souvenir en moi était encore très chaud.
— M.
Varga !!! on vous a demandé de ne pas bouger !!!
Mais que me
veut elle ? Je ne bouge pas…. Je m’apprêtais à répondre et me
défendre contre cette odieuse accusation.
— ne
répondez pas, je vous demande juste d’arrêter de bouger.
Franchement,
je ne comprenais pas de quoi elle voulait parler…. Depuis plus d’un
quart d’heure, je gardais une immobilité de statue. J’ai
suffisamment claqué de fric dans des stages de méditation pour au
moins avoir appris à ne pas bouger quand on me le demande. Depuis un
an j’arrive même à ne pas me gratter les fesses des qu’on me
l’interdit et vous savez à quel point ce type démangeaison peut
être irrésistible des lors qu’on chatouille le domaine de
l’interdit.
— mais
enfin, calmez vous monsieur…
Elle
m’énerve celle la…. Mais qu’est ce qu’elle me veut… ça va
bientôt faire une demi heure que je suis immobile, j’ai envie de
pisser, j’ai faim, ce truc en papier me rentre dans les fesses,
j’ai des gaz… si je pète, c’est sur, j’aurai droit à la
sécurité de l’hôpital.
La musique
s’interrompt et c’est la voix du toubib que j’entends dans les
écouteurs. Tiens, il parle celui la.
— Vous
m’entendez M. Varga ? Vous pouvez parler si vous voulez.
— Oui,
docteur, je vous entends…je peux bouger ?
— Le
cycle va bientôt s’achever, attendez quelques instants, je vous
ferai signe quand le plateau sera désengagé de la machine.
Quelques
minutes plus tard, je suis enfin autorisé à sortir de mon
immobilité. Je me gratte le nez et les fesses de soulagement… que
c’est bon….
— Vous
pouvez vous rhabiller… je vous retrouve dans cinq minutes.
Enfin seul
dans la cabine je dépose ma blouse enfile mon slip…. Ma petite
madeleine a fait son effet. Je tiens une érection comme un matin de
printemps. Il m’est quelques fois arrivé de ne pas pouvoir compter
sur toutes mes fonctions anatomiques et c’était la plupart du
temps quand j’en avais le plus besoin. Je suis à présent rigide
comme une note d’instruction de l’éducation nationale, ca me
ferait presque mal et j’ai eu la mauvaise idée ce matin d’enfiler
un pantalon de toile très léger.
L’interne
me reçoit le sourire aux lèvres dans le bureau de consultation.
— Vous
êtes seul ? Je voulais parler de l’infirmière.
— J’avais
compris oui… elle a du s’absenter… c’est une jeune fille
émotive…
— Emotive
?
— Tenez
regardez. Je vais la garder pour ma collection personnelle.
Il me
montre le moniteur de contrôle ou s’affiche quelques clichés en
coupe, qui me rappellent vaguement les séances d’échographie où
je faisais mon possible pour décrypter le brouillard….
— regardez
! vous vous reconnaissez ?
— je ne
me suis encore jamais observé sous cet angle.
J’ai
devant les yeux mon pénis en coupe, parfaitement dessiné, vu de
l’intérieur, qui semble vouloir s’exprimer et sortir de la scène
un peu à la manière de l’alien dans sa première phase de
transformation.
— C’est
pas mal, en général, presque tout le monde perd ses moyens devant
la caméra, mais vous, visiblement, ça n’a pas eu l’air de vous
affecter plus que cela.
C’est
ainsi que six heures après y être entré, j’ai pu rejoindre mon
salon et ma chérie à qui j’ai fait présent d’une de mes
photographies d’identité intimes. Je ne suis pas certain qu’elle
ait mesuré la portée du cadeau que je lui faisais.
Elle
a compris que je voulais un enfant d’elle….comment lui dire
que….j’ai subi une vasectomie l’an dernier ?
Une nouvelle pleine d'humour. Le sourire aux lèvres je me suis imaginée un court moment à la place d'une infirmière coincée.....ou le fait elle croire....., un centre hospitalier et une compagne pleine d'affections...... Je pense que messieurs souhaiteraient connaître la même situation......
RépondreSupprimerUn texte drôle, ironique et si réel qui ne se prend pas une seconde au sérieux. Vive les méandres de l'administration, les règlements et la pudibonderie hypocrite, caractéristique de pas mal de monde.....J'ai pris un plaisir fou à la lire.....Dommage pour short-éditions de ne pas avoir retenu ce texte.....ils sont passés à côté.....pas mo
RépondreSupprimerque dire! j'y étais aussi très réel! et quelques passages très proche de la réalité... TEXTE QUI m'a fait bcp sourire, tout y était l’humour, et la chute surtout! merci j'ai pris plaisir a le relire deux fois! A L’hôpital il s'en passe des choses...........ET LE PERSONNEL en voit aussi de toute les couleurs.............ET pour beaucoup de "patients" ça peut être déstabilisant , voire angoissant .....
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