lundi 6 avril 2015

"mmm et si on faisait une petite sieste? "

Les mots d'une jeune auteure... assez timide, mais que j'aimerais qu'elle signe...
C'est un premier jet...


Le texte est brut, sans aucune correction.
"mmm et si on faisait une petite sieste? "
J'ai du mal à lui résister quand il m'enlace de cette façon et avant même que je n'ai eu le temps d'acquiescer, il me prend par la main et m'entraine silencieusement dans la chambre.
Le silence ajoute une dimension sensuelle à cette sieste qui s'annonce bien crapuleuse, je décide donc de poursuivre sans dire un mot.
À peine la porte verrouillée, il s'empare de mes lèvres une main sur ma nuque et l'autre sur mes hanches en m'attirant contre lui. Lentement il me fait reculer jusqu'à ce que je bute contre le grand lit,et me pousse encore pour me contraindre à m'allonger. Il me rejoint sans me quitter des yeux et, comme s'il avait lu dans mes pensées, sans dire un seul mot. Son regard se fait plus intense, presque noir et je ne peux empêcher mon cœur d'accélérer la cadence de ses battements. Je déglutis en ne cessant de le fixer comme si j'étais menacée par un animal sauvage. Mon pouls s'accélère encore ,car comme un enfant qui attend la fessée de ses parents après une grosse bêtise, je sais ce qui m'attend. La douleur au creux de mon ventre est délicieuse à subir. J'aime qu'il me met dans cet état de vulnérabilité, soumise à ses désirs. Tel un prédateur il s'approche de moi et dévore ma bouche et je suis paralysée par mon désir, incapable de bouger. Lorsqu'il arrive à mon cou un frisson me parcourt l'échine et c'est un tsunami qui commence à envahir mon entrejambe. Ses mains se font plus baladeuses et il réalise enfin que nos vêtement deviennent gênants.  Il passe une main sous mon haut pour venir prendre un de mes seins en coupe et en passant le pouce sur mon téton,qui lui répond aussitôt en se durcissant. De l'autre il défait habilement les boutons de mon jean et dans mon impatience, je décide de passer une main sous son t-shirt mais il me repousse en me coinçant la main coupable dans le dos, en me réprimandant de ses yeux et me faisant comprendre qu'il n'en a pas fini avec moi. Il me lâche le bras coincé et commence à me déshabiller: mon haut, puis mon jean qu'il accompagne jusqu'au sol en s' agenouillant devant moi. Malgré la position, je me sens bien vulnérable en réalisant qu'il approche sa bouche de mon pubis pour me chatouiller de ses lèvres à travers la fine étoffe de ma petite culotte, et en respirant mon odeur intime. J'en suis décontenancée, presque gênée et je sens le rouge me monter aux joues.Je suis folle de désir pour cet homme que j'ai l'impression de découvrir à chaque fois...



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